Ma mère est fille de diplomate. D’ambassadeur, même. Je ne sais pas si c’est de là qu’elle tire son goût du luxe, des réceptions, des hommes de pouvoir et du protocolaire, mais cela y a sans doute contribué. Ma mère est aussi enfant de la (grande ou haute?) bourgeoisie française. Diktats de l’époque et de sa condition de femme obligent, on lui a enseigné dès le plus jeune âge à tenir son rôle de future femme obéissante-maîtresse de maison-mère de famille, mais aussi à considérer le travail comme étant le propre de l’homme et avilissant pour le sexe faible. Lire la suite
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